Le mythe de la Minotaure commence
avec Minos, qui voulait être le roi du Crète,
et a prié à Poséidon, dieu de la mer, pour une preuve qu’il était vraiment
le roi. Poséidon a promis de lui envoyer un taureau blanc pour la preuve de sa
puissance, mais seulement si Minos lui
donnerait le taureau comme un sacrifice. Cependant, quand Minos a vu la beauté
du taureau, il voulait l’avoir pour lui-même, et a refus à le sacrifier. Poséidon s’est fâché contre Minos, et pour le
punir, il a fait la femme du roi tomber en amour avec le taureau. La pauvre femme avait un fils, qui était un
homme avec la tête d’un taureau. Donc, la
Minotaure était un monstre à cause des erreurs de ses parents. Dans le texte de Mme. Leprince de Beaumont,
aussi, la Bête était une bête à cause de ses parents, qui ne croyaient pas aux fées.
Dans les deux histoires, la laideur et
le malheur de la Bête et la Minotaure n’étaient pas de leurs fautes ; elles
souffraient à cause des choix de leurs parents.
Mais bien que les origines de la
Bête et la Minotaure sont similaires, leurs caractères sont absolument différents. La Minotaure s’est grandi d’être un monstre horrible, effrayant et cannibale. Dans
son labyrinthe où elle était condamnée à se habiter, elle existe toujours comme
une sauvage qui mange tout ce qu’elle voit, jusqu’à sa mort. Mais la Bête a un
bon cœur ; elle a des aspects humains qui sont une partie de la raison
pour sa transformation à la fin du texte. L’humanité de la Bête est ce qui l’a sauvée,
juste comme la monstruosité de la Minotaure est ce qui l’a détruite.
Je pense que la Minotaure est le
monstre que la Bête aurait pu devenir, s’elle avait décidée d’être méchante,
cruelle, et corrompue. Mais parce qu’elle restait bonne même qu’elle était une bête,
elle a eu la chance pour devenir un prince encore. Je me demande si la Minotaure aurait pu être
bonne aussi, si elle avait eu la chance d’être aimée comme la Bête. Peut-être
la Minotaure et la Bête sont deux côtes de la même histoire, et la seule différence
est que la Bête avait la chance d’être aimée. C’est mon avis, qu’est-ce que vous pensez ?
-Madison Malarkey