Quel effet rendre
la répétition dans « Hiroshima mon amour » ?
A)
L’utilisation de répétition fait que
l’audience fait attention à une idée.
Peut-être la phrase le plus célèbre de ce roman, « Tu n’as rien vu à
Hiroshima. Rien. », est introduit sur la page 22 mais il est répété encore
pendant le roman. Il rend le lecteur conscient de la puissance de cette phrase
et les exhorte a penser a la signification.
Le
mot « rien », utilise dans ce phrase, est utilise dans beaucoup des
autres phrases pour renforcer l’importance de la phrase : pg. 29« Je
n’ai rien invente. Tu as tout invente » pg. 30 « Rien tu ne sais
rien. » Rien indique qu’il n’y a
pas de fondation dans la relation entre lui
et elle parce qu’il répète qu’elle ne
comprend rien de la situation ; elle répète que Nevers (et s’enfance) ne
veut rien dire.
B)
Répétition fait un monologue plus
poétique.
Sur la page 35, elle a un
monologue ou elle parle de ses sentiments au tour de lui. Duras use la répétition pour instantanément évoquer des
sentiments contradictoires – une technique que fait l’allusion d’un poème. Par
exemple : « Tu ne peux pas savoir. Tu me tues. Tu me fais du
bien. Tu me tues. » « J’ai le temps. Je t’en prie. » En
le faisant paraître plus comme un poème, le monologue prend un ton plus émotionnel
et artistique.
Que pensez-VOUS?
- Yvonne :)
Je suis d'accord avec tous les points sur la répétition. C'est un élément très important pour le livre. À mon avis, je pense que les extrémités des mots sont directement liés à la répétition. Comme Yvonne dit, peut-être la ligne la plus importante est «Tu n'as rien vu à Hiroshima. Rien.» Et elle contredit avec «J'ai tout vu. Tout.» La répétition souligne les mots «rien» et «tout», mais les mots «rien» et «tout» sont complètement opposées, et encore souligner l'importance de l'expression.
ReplyDeleteLa répétition, les mots contradictoires, et le style poétique, travaillent ensemble pour montrer l'émotion et l'importance de de certaines phrases à Hiroshima Mon Amour.
-Gráinne Hutton
Dans ce livre, la répétition est un élément très important, parce qu’elle souligne le sens que l’auteur veut exprimer. Donc, je suis d’accord avec vous ; quand il y a une phrase qui est répète encore et encore, l’audience fait plus d’attention à cette idée. Par exemple, les phrases la plus faciles de rappelé sont « Tu n’as rien vu à Hiroshima. Rien. » et « J’ai tout vu. Tout. ». Parce qu’il y a de répétition, l’audience ne peut pas oublier cette ligne—et cette ligne est peut-être la plus importante du film/roman.
ReplyDeleteTiffany Suwoto
C'est vrai que le film utilise beaucoup la répétition des mots, mais on doit aussi prêter attention à la répétition des autres chose. Par exemple, il y a beaucoup des images répétés dans le film. Un image répété c'est l'eau. On voit l'eau dans l'Ota contaminé à Hiroshima et dans le Loire qui ne coule pas a Nevers. Dans le deux cas, on a l'absence de quelque chose: de vie ou de mouvement. C'est un comparaison entre le deux villes. On a aussi la répétition de l'image de la bicyclette: tondu à Hiroshima, mais fonctionnelle à Nevers. C'est un contraste entre le deux villes.
ReplyDeleteLa répétition est plus profonde que seulement souligner les mots clefs du texte, c’est un thème central du roman elle-même. L’usage de la répétition souligne l’enjeu du rapport entre le passé et le présent, et plus loin, le rapport entre l’oubli et les souvenirs. Le présent répète le passé. C’est évident que les situations d’elle à Nevers se répètent à Hiroshima, mais aussi, les souvenirs d’elle resurgissent de l’oublie aussi et elle les revit au présent. Donc, le passé ET les souvenirs se répètent, créant un mélange complexe au présent.
ReplyDeleteL’usage de la répétition se répète, elle-même, partout le livre et le film aux tous niveaux. Comme Yvonne et Sophia ont dit, il y a des mots et phrases qui répètent. Mais aussi il y a les anadiploses. Au structural du phrase, ces phrases miment la tendance de la vie de se répète, tout comme Elle. Des phrases finissent et commencent avec le même mot. Cela crée la sensation d’une phrase infinie, un cercle qui ne cesse pas, comme la résurgence et l’oublie des souvenirs. Dès que une phrase finie, il y a encore une phrase qui commence avec la fin de la phrase précédente. La phrase suivante a des échos de la phrase précédente, elle presque la souvient, revit, même si c’est une phrase différente (ou une situation différente comme celle d’Elle à Hiroshima).