Monday, November 24, 2014

Qui est Popol?

Momo de Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran est comparé constamment à son frère, Popol. Le père a dit souvent qu’il préfère le frère Popol de Momo, avec les phrases comme, « Ah, heureusement que ton frère Popol n’était pas comme ça. » Momo, c’était la source de son manque de confiance en soi.

Cependant, quand Momo rencontre sa mère pour la première fois, elle dit, « Mais je n’ai jamais eu d’enfant avant Moïse. Je n’ai jamais eu de Popol, moi. » Les personnages et les spectateurs deviennent siliceux avec la confusion. Alors, qui est Popol que le père adore autant ?

Popol pouvait exister en un sentiment figuratif ou Popol pouvait représenter la vie que le père a vu vivre, mais ne pouvait pas avoir. Quand la mère quitte, elle prend le bonheur du père.  Une perfectionniste, le père a surmonté sa vie incomplète avec la formation du Popol. Qui est cette personne qui le père admire ? Et est-ce que son souhait pour une vie parfait cause le père tue lui-même ? Qui est-ce que tu penses être Popol ?


Dyvonne Body

Friday, November 21, 2014

L’opinion de Momo sur les femmes est à cause de la flute de sa mère.

Est-ce que Momo ne respecte pas les femmes parce que sa mère lui a abandonné quand il est né ? 

Depuis de nombreuses années, il économisait l’argent pour acheter une prostitue. Quand il avait onze ans, il a économise assez d’argent pour en a acheter une, bien que il n’ait pas eu seize ans. Meme quand Brigitte Bardot a arrivé à la Rue Bleue, quand tout le monde va à regarder elle, Momo pense seulement qu’elle ressemble les putes de la Rue Paradis. Donc, nous voyons que Momo n’avait pas beaucoup de respecte pour les femmes. Pourquoi ? Je crois qu’il ne respecte pas les femmes parce que sa mère lui a abandonné quand il était très petit. Donc, pour toute sa vie, il n’expérience pas l’amour de la mère. Et aussi, parce que son père était toujours absent et quand il était là il parle seulement sur la sujet de Popol, Momo ne sait pas qu’est-ce que c’est le vrai amour des parents. Momo ne sait pas pourquoi sa mère s’est enfuie, et donc je crois qu’il pensait que sa mère ne l’aime pas, et aime seulement de Popol. Je crois que la raison que Momo n’avait pas du respecte pour les femmes et qu’il acheter les putes c’est parce qu’il a très envie d’amour d’une femme. Donc d’une certaine façon c’est un paradoxe, mais dans la psychologie, c’est une vraie explication. Mais, ça c’est mon opinion. Qu’est-ce que vous pensez ?

Tiffany Suwoto

Tuesday, November 18, 2014

Le Costume et Le Trajet de Moïse

La première fois qu’on voit Moïse, notre personnage principal dans le film Monsieur Ibrahim et les Fleurs du Coran, il tente d’agir comme un homme, ou comme il pense qu’on homme agit. Il porte un Marcel, un symbole de la virilité, et une chemise blanche avec un feutre (fedora). Il est l’image idéal d’un homme professionnel sauf qu’il n’est qu’un garçon. On pense d'un petit gars en portant le costume de son père: Il pense qu'il comprend tout ce qu'il faut faire pour devenir un homme, mais il ne comprend rien. La générique prend place quand Moïse s’habille et se prepare pour acheter une prostitue pour faire du sexe. Simplement, il essaie de se comporter comme un adulte comme les enfants jouent le rôle pendant un jeu. Cette scène ouvre le film parce qu'elle nous informe l'audience que nous allons regarder le trajet de ce garçon de l'enfance à la maturité.

Dans le flashback, le petit Moïse porte une chemise rouge et il porte cette même chemise pendant tout le film jusqu'à la fin. Légèrement, ses costumes deviennent plus et plus adultes, mais il garde cette chemise parce que c'est seulement quand il a appris tout ce qu'il est nécéssaire pour gagner une vie satisfaisante qu'il peut se débarrasse cette signe de l'enfance.

Pendant le film, Moïse joue le rôle d'un gens plus âgé que lui: Il achète des prostitues; il tombe amoureux avec une fille; il habite seule après la mort de son père, mais ce n'est pas jusqu'à la fin du film qu'il vraiment devient adulte. Littéralement, le dernier image sur l'écran est Moïse comme adulte dans son épicerie. 


Bethany Morgado

Monday, November 17, 2014

Pourquoi est-ce que Schmitt a mis un contraste apparent entre la perception des Juifs (représenté par le père) et la perception des Musulmans (représenté par Monsieur Ibrahim) ?

En classe, nous avons discuté brièvement la scène dans le livre ou Monsieur Ibrahim a enseigné Moise ‘l’art de sourire’. Le sourire est souvent associe avec le bonheur, et c’est bien sur un symbole du bonheur.  J’ai trouvé que le bonheur et est un thème qui semble d’être évident dans ce livre aussi.  Pour Moise, le bonheur est associé avec Monsieur Ibrahim- qui est musulman, tandis que la dépression et la tristesse sont associe avec son père- qui est juif.

Monsieur Ibrahim lui a enseigné la clé du bonheur- le sourire- qui lui a amené dans nombreuses situations et qui améliorait son vie en général. Et quand Moise a demandé à Monsieur Ibrahim ce qu’il fait pour être heureux, Monsieur Ibrahim a répondu simplement qu’il sait ce qui est dans le Coran- le livre des musulmans.

Au contraire, le père de Moise était la source de beaucoup des difficultés et de la tristesse de Moise. Son père a oublié son anniversaire, il n’a jamais été autour de la maison, et éventuellement, il lui a laissé tout seul. Son père a dit que « Etre juif, c’est simplement avoir une mauvaise mémoire » (40). Et quand Monsieur Ibrahim a demandé à Moise ce que veut dire être juif, il a expliqué que son père croire que « c’est être déprimé pour tout la journée », et pour lui-même c’est « juste un truc qui l’empêche d’être autre chose » (41).


Donc, on peut voir que la perception des Musulmans, qui est représenté par le personnage du Monsieur Ibrahim, est généralement avantageuse et heureux. Et puis en contraste, la perception des Juifs, représenté par le père, est généralement négative et triste. Alors, j’ai demandé pourquoi l’autour a mis ce contraste apparent ? Peut-être que l’auteur veut montrer qu’une religion est mieux que l’autre, ou peut-être il veut montrer les deux façons différents d’envisager deux religions similaires. Que pensez-vous ?

-Amanda Olenczuk 

Thursday, November 13, 2014

Le Symbolisme de L'Ours

Le Symbolisme de L'Ours

L'ours dans le livre Monsieur Ibrahim et les Fleurs du Coran est très clairement un symbole de l'enfance et de l'innocence. Il est plus que ca. Il englobe la totalité de l'enfance. Il est la représentation de l'enfance. Quand il donne l'ours à la prostituée, il représente la perdre de l'innocence de Momo, et comment il est pas un enfant.

Mais est-ce?

Un grand thème du livre est l'idée que Momo a beaucoup de passion pour la vie, mais il veut découvrir tout cela dans une fois. Monsieur Ibrahim lui apprend à ralentir sa passion, et de profiter de chaque partie de la vie. Le thème juxtapose le début de l'histoire et la symbolique de l'ours. Momo est si rapide pour perdre son innocence et l'idée de l'enfance, qu'il donne littéralement l'ours, ou son "innocence". Il pense que d'avoir des relations sexuelles avec une prostituée sera son entrée dans l'âge adulte.

Je pense que, au début, l'ours est un symbole de l'enfance. Quand il lui donne comme un cadeau à une prostituée, il perd ce symbolisme. Il devient maintenant ce qu'il pense être son enfance. Qu'est-ce qu'il pense être son "droit de passage".

Que pensez-vous? Pensez-vous que quand Momo donne l'ours à la prostituée, il est équivalent de lui donner son innocence? Ou pensez-vous qu'il perd son innocence dans les leçons que Monsieur Ibrahim enseigne Momo?

Gráinne Hutton

Wednesday, November 12, 2014

Similarités des références bibliques de Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran


La petite discussion que nous avons eu en la classe aujourd’hui ce a ouvert le sujet de références bibliques. Il commence avec les noms des personnages importants, y compris Moïse et Monsieur Ibrahim. Celui qui est  familier avec christianisme va réaliser que Moise est la traduction anglaise de « Moses » et Ibrahim est la traduction anglaise de « Abraham ». Les deux noms sont très importants prophètes dans le Bible.

Est-ce que les similarités en intention?

« Schmitt wanted to show the history of a young Jewish boy and the Muslim grocer of their neighbourhood in Paris, but without obviously making religion essential to the plot, » a dit un article. Donc, religion est un grande thème dans l’histoire pour l’écrivant, Éric-Emmanuel Schmitt. Il utilise la religion en tant que la connexion entre le garçon et l’homme. On voit leur relation développe avec l’augmentation de la connaissance du Coran.  Ce développement donne le garçon et l’homme un sacre lien.

Dyvonne Body

Vers le Sud: Une Critique des Puissance Mondiales



On peut voir « Vers le Sud » comme un commentaire de comment le monde voit des rôles certains pays. Les personnages du film représentent leurs propres nationalités. Brenda représente les Etats-Unis, Ellen représente la Grande-Bretagne, et Legba représente Haïti (ou tous les pays du tiers monde). Brenda, l’américaine insensible, prend qu’elle veut. Pendant que, Ellen se comporte comme elle tente de préserver la culture et l’âme d’Haïti, mais en fait, elle exploite les deux. Elles ont la puissance en haut de Legba parce qu’il peut leur ressources.
 
Continuer avec Ellen, on peut dire que « Vers le Sud » est une critique du colonialisme. Ellen a voulu protéger Legba et elle a offrir payer pour un billet d’avion. Mais, la réponse n’est pas transformer Legba en un américain ; il n’est pas quoi il veut. Au fin, Ellen exploite Legba pour son corps (pas qu’elle a eu l’intention de blesser Legba, mais juste qu’il a eu quelque chose qu’elle a eu besoin de) et tous de ses essais lui protéger échoue et Legba est mort. Si on voit Ellen comme un pays puissant et Legba comme un pays du tiers monde, la critique est évidente.

- Mallory Macgill 

"Heading South (Vers Le Sud)." Reeling: The Movie Review Show's Review of Heading South (Vers Le Sud). Reeling Reviews, n.d. Web. 12 Nov. 2014.

Trois en Un

Bien que je vraiment aimé l'adaptation de Laurent Canet et la combinaison de trois histoires courtes de Danny Laferrière, je me demande comment Vers le Sud aurait changé comme un film si le réalisateur a choisi de se concentrer uniquement sur l'une des trois histoires. Je pense que si il l'avait fait, il aurait pu avoir plus de liberté artistique, et peut-être exprimer une réponse plus personnelle à la littérature Laferrière. Je pense que parce que Laferrière a été écrit sur un sujet qui est au centre de sa vie, son commentaire sur les complexités de l'amour, la politique, et le désir sont plus clairement dans la littérature actuelle plutôt que dans le film. Canet présente les relations entre les personnages principaux du film tandis que Laferrière décrit comptes personnels et des situations chaque personnage est confronté. Par exemple, la mort de Legba, je pense, aurait pu être exploré plus en profondeur dans les zones où Laferrière n'a pas fait. En fin, je pense que si Canet a mis l'accent sur une seule histoire, il aurait été en mesure d'explorer ses opininos personnelles sur les histoires de façon plus vivante. Que pensez-vous? Pensez-vous qu'il a fait le bon choix en adaptant les trois histoires en un seul film?

-Hannah-Nicole Goldstein

Tuesday, November 11, 2014

Vers Le Sud: Le paradis d’Haïti et le Jardin d’Eden

 Dans la présentation d’Hannah sur la mythologie sexuelle et la mise en scène des corps dans Vers Le Sud, elle a fait des allusions au Jardin d’Eden.  Je vais élaborer plus  sur les similarités et différences entre le paradis d’Haïti et le paradis du Jardin d’Eden dans ce poste.

Nous savons que pour les femmes d’âge mûr, Haïti est un paradis pour eux. Dans Haïti, la vie est belle. Elles sont à l’aise, et elles n’ont pas de soucis. Mais il y a encore des tentations. Dans le Jardin d’Eden, Adam et Eve étaient égaux. Dieux a crée Eve de la côte d’Adam pour cette raison.  Mais à Port-au-Prince, les femmes ont le pouvoir. Elles sont d’une classe sociale plus élevée que les hommes et surtout elles ont d’argent ce qui crée une grande inégalité entre les touristes et les habitants. Elles ne sont pas  très belles ou jeunes, mais elles ont d’argent et avec ça, elles peuvent acheter presque tous à Port-au-Prince, y compris la compagnie des hommes. Donc, leur vrai paradis est un paradis sexuel.


Legba, qui est toujours décrit de manière sexuel, est la tentation de Brenda, Ellen, et plus des autres femmes. Il est parti du package de paradis. En fait, il est le paradis. C’est avec lui qui Brenda a son premier orgasme. L’orgasme, on peut dire, est le paradis sexuel ultime. Legba permet à ces femmes d’âge mûr à éprouver du plaisir. Elles se sont voulues.  Mais comme dans le Jardin d’Eden, la tragédie frappe même au paradis.  Eve exile elle-même et Adam du Jardin d’Eden et ça termine le paradis. Quand Legba meurt, c’est la fin du paradis dans Haïti aussi. En fait, Brenda et Ellen quittent l’île  parce que le paradis a terminé.


Daniela Galvez

Monday, November 10, 2014

Brenda: La Danseuse

Dans Vers le Sud, il y a deux scènes quand on vu Brenda en dansant. La première scène est sur la plage quand elle danse avec le plus petit garçon. La musique est mélodique et douce, bon pour danser avec une autre. Dans cette scène, touts les choses qu’elle fait – fumer la cigarette, danser avec le petit – sont pour capturer l’attention de Legba.  


L’autre scène de la danse est la scène quand Ellen et Brenda mangent et Legba danse avec une autre femme. Après cela, Brenda va à danser avec Legba, et ils dansent ensemble au début, mais, puis, elle devienne surmonter avec les esprits de vaudou. Puis, elle danse seulement, et comme une femme possédée. Pour quoi pensez-vous qu’elle danse comme cela? Est-elle vraiment possédée? Ou est-elle essaye encore de gagner l’attention et l’affection de Legba?



-- Amy Foertsch

Le mystère nécessaire de la mort de Legba

J’aime bien l’adaptation de Laurent Canet et comment il a combiné trois nouvelles de Laferrière pour capturer la vie haïtienne décrit par l’auteur.  Je pense que Canet a traduit bien ces nouvelles en film pendant garder les thèmes principaux comme la plaisir (interdite et réalisable), la frontière entre des cultures, et  la découverte de soi. Mais, je ne suis pas d’accord avec le choix de répondre à la question de qui a tué Legba est complètement inutile et diminue le pouvoir de la nouvelle Vers le sud.

La mort de Legba n’est jamais le intérêt de la nouvelle. En fait, on apprend qu’il est mort au milieu du la histoire, qui est une interrogation. La mort de Legba est présentée en passant, comme si c’est déjà connu.  L’attention de la nouvelle est plutôt centrée sur les femmes et leurs expériences à Haïti avec ce jeune homme. Il s’agit de leur histoire, de leurs pensées, qui sont présentés dans un endroit et culture complètement diffèrent que les siennes. L’évènement de sa mort est exclu spécifiquement pour souligner les effets que Legba, et plus loin, l’Haïti, ont sur les trois femmes et Albert.  Ce n’est pas Legba lui-même qui est important, mais les expériences des femmes avec lui et leur connaissance de soi  elles ont trouvé là-bas.


Donc, dans le film, quand on sait qui a tué Legba, et peut-être pourquoi, cela change le regard de l’histoire. En inclure sa mort, et l’enquête qui suit, le film perd beaucoup du mystère qui est nécessaire pour souligner les expériences de ces femmes sur cette île. L’addition du colonel et sa maitresse me semblent hâtif et c’était inclus seulement pour donner une réponse cet presque indifférence de la mort de Legba. En résumé, je pense que ce changement de l’intrigue enlève toute la culpabilité des femmes. Ce n’est plus une question de qui ou pourquoi quelqu’un, peut-être l’une des femmes, a tué Legba. Je pense que ce fait échoue d’expliquer les effets Haïti ont sur les femmes, mais aussi ceux des femmes ont sur l‘île.   

--Kate Clark